Le choix d'une approche globale
Entamer une démarche thérapeutique avec la Kinésiologie ou le Reiki
Le travail sur soi, l’accompagnement thérapeutique, la gestion du stress et des émotions, l’aide au changement personnel ou professionnel, le développement personnel… Les expressions sont nombreuses pour décrire nos tentatives de réponde à ce besoin vital de donner du sens à nos vies, de comprendre ce qu’on fait là, de se sentir en équilibre et en harmonie avec notre environnement.
Avant la séance de Reiki ou de Kinésiologie...
Le premier pas n’est pourtant pas toujours facile à faire… Soulever le couvercle de sa boîte de Pandore, mettre en lumière ce qu’on s’est jusqu’à présent efforcer de taire peut être un exercice délicat.
La première étape consiste parfois à désamorcer des peurs et des croyances autour de la démarche elle-même : « va-t-on me prendre pour un fou ? Le suis-je ? », « si je change ça en moi, serai-je toujours moi ? », « finalement, ça va pas si mal, je prendrai le temps plus tard »… Toutes ces limites sont naturelles, il convient à chacun de trouver comment les désamorcer (en contactant un thérapeute au téléphone, en parlant avec des amis, ou au contraire, en n’en parlant pas…).
A la frontière de sa zone de confort, la pulsion motrice s’oppose à la peur, et c’est souvent derrière la peur que se trouvent les plus belles richesses.
Le « travail » commence au moment de la prise de rendez-vous, enclenchant un mécanisme de tri et de définition de priorités. On voudrait pouvoir trouver LE truc qui sous-tend tous les autres, aborder une question fondamentale et redondante dans nos vies.
Et puis il y a l’instant, ce moment précis où on libère une parole, toute emmêlée, nous excusant parfois de fouillis. On va finalement évoqué ce collègue de bureau qui pas plus tard que tout à l’heure… Ce sera donc sur ce fil que nous choisirons de tirer pour démêler notre pelote, et nous trouverons l’infiniment grand dans l’infiniment petit.
La Kinésiologie et le Reiki, des approches globales
Ainsi, lorsque la démarche est motivée par un symptôme, nous nous intéressons aussi aux leçons que la vie est en train de donner, et inversement si la démarche est motivée par une épreuve de la vie, nous interrogeons aussi les symptômes physiques.
Au-delà du choix d’une technique holistique ou plus traditionnelle, quelle technique choisir ? Les nouvelles méthodes fleurissent et aucune ne semble être une « recette » ou offrir de garanties, aucune ne semble être indiquée plus particulièrement selon un symptôme ou un profil.
Recevoir une séance de Kinésiologie ou de Reiki en parallèle d'autres soins
En outre, il n’existe pas d’interaction négative entre les différents soins. Un accompagnement psy est tout à fait complémentaire à une approche énergétique et corporelle ; vous pouvez très bien bénéficier d’un soin en ostéo, puis un reiki, puis un shiatsu… et quelque soit la combinaison, profiter des bienfaits de chaque approche.
L’objectif qui sous-tend l’ensemble des séances est bien celui de l’autonomie. Sentir (à nouveau) ses besoins, ses zones d’inconfort, (re)trouver ses ressources, les reconnaître et les exploiter.
L’accompagnement thérapeutique n’est pas une série de conseils, il ne s’agit pas de guider ou d’orienter, mais bien d’une aide à reprendre les rênes, la conscience de ses choix et de ses capacités.
Etre acteur de son changement est fondamental.
Ainsi, il n’est pas possible de prendre rendez-vous pour quelqu’un d’autre que soi (sauf mineurs) ; il appartient au consultant de définir non seulement les thèmes abordés mais aussi le rythme et la fréquence des séances, à l’aide d’observations personnelles.
Après la séance de Kinésiologie ou de Reiki
En effet, la séance se poursuit au-delà du temps qui lui est proprement consacré. Comme elle démarre au moment de la prise de rendez-vous, les changements insufflés s’observeront parfois de manière subtile dans les jours qui suivent.
« A partir d’aujourd’hui et chaque jour un peu mieux… » est une phrase de prédilection pour tous les désirs formulés en séance. Notre système peut être comparé à une pyramide de sable. Lorsque nous sommes confrontés pour la première fois à une situation, c’est comme une goutte d’eau qui tombe au sommet de cette pyramide. Elle trace un sillon, de manière aléatoire : c’est notre réaction évidente et naturelle à cette situation. Les fois suivantes, confrontés au même contexte, nous adopterons la même réaction de manière spontanée : un schéma répétitif. Une séance permet de « souffler » sur cette goutte, et d’imaginer une nouvelle réponse à une situation, en traçant un nouveau sillon. Afin de faire de ce deuxième sillon notre préférence, nous ancrons la séance. A l’aide éventuellement d’exercices, de gestes, d’actions, de pensées… le consultant renforce sa séance en autonomie, affirme son choix et mobilise facilement ses ressources.
L’observation est prescrite de manière systématique. On observe précisément à l’endroit où le changement est souhaité, et on observe les ricochets. On observe l’environnement et les autres, souvent miroirs de ce que nous sommes et de ce que nous projetons.
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Source : <a href="www.sapprocherdesoi.com/index.php?page=articles&sujet=entamer-une-demarche">Entamer une démarche thérapeutique avec la Kinésiologie ou le Reiki | Anne Cappagli kinésiologue Lyon 7</a>